Conflit Colombie
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. Programme du Gouvernement du Président Uribe, de démobilisations des guérilleros (FARC & ELN) et des paramilitaires (AUC). Une fois les armes déposées, les combattants clandestins sont déplacés vers les grandes villes. Ils vivent sous anonymat dans ces “hôtels” gérés par le Ministère de la défense, pour leurs permettent de suivre des études et refaire leurs vies. Dans ce lieu d’anciens guérilleros des FARC et leurs familles : GIMENA 23 ans à gauche et son conjoint JOHN 26 ans, et leurs deux enfants.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. Programme du Gouvernement du Président Uribe, de démobilisations des guérilleros (FARC & ELN) et des paramilitaires (AUC). Une fois les armes déposées, les combattants clandestins sont déplacés vers les grandes villes. Ils vivent sous anonymat dans ces “hôtels” gérés par le Ministère de la défense, pour leurs permettent de suivre des études et refaire leurs vies. “JULIAN” ex-combattant des AUC. Il a 19 ans , il vient d’arriver il y a 9 mois, il veut étudier et apprendre la maintenance informatique.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. Programme du Gouvernement du Président Uribe, de démobilisations des guérilleros (FARC & ELN) et des paramilitaires (AUC). Une fois les armes déposées, les combattants clandestins sont déplacés vers les grandes villes. Ils vivent sous anonymat dans ces “hôtels” gérés par le Ministère de la défense, pour leurs permettent de suivre des études et refaire leurs vies. “JOAN ANDRES” ex-combattant des AUC. Il a 28 ans. Il veut quitter la violence et apprendre à devenir mécanicien.
COLOMBIE, les caravanes touristiques
COLOMBIE – Août 2003. depuis Janvier 2003, a été mis en place un programme gouvernemental de protection des civils sur les routes touristiques (organisation de convois gardes par l’armée et la police de la route, surveillance par satellite). Convoi sécurisé pour les vacanciers colombiens, retour depuis Medellin jusqu’à Barranquilla (700 km de route). Militaire charge de surveiller la route.
COLOMBIE, les caravanes touristiques
COLOMBIE – Août 2003. Depuis Janvier 2003, a été mis en place un programme gouvernemental de protection des civils sur les routes touristiques (organisation de convois gardés par l’armée et la police de la route, surveillance par satellite). Des enfants font du cerf-volant sur la plage de Santa Marta, dans la région de Barranquilla, surveillée par la Police du tourisme.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. La violence et l’insécurité. la pauvreté et la misère. Dans la rue à Bogota. “JESUS, EL ENANO” (JESUS “LE NAIN”), 36 ans. Il vient de la campagne et survit dans la rue en faisant du “recyclage” de carton, de métaux, de verres etc… Il passe ces journées à fouiller les poubelles des quartiers aisés pour en sortir quelques centaines de pesos (1 euro = 3 000 pesos).
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. Dans la caserne Hôpital du Nord de Bogota, le sergent de 2e classe FRANCISCO PEDRAZA. Les mines anti-personnel artisanales sont posées par les guérillas, les paramilitaires ou les narcotrafiquants, qui en plus de leurs faire perdre une ou deux jambes les ont infectés. Ces mines sont constituées de grenailles, de ferrailles et de matières fécales pour entraîner des infections difficiles à soigner. L’armée colombienne n’achètent plus, n’utilisent plus, ne produit plus, ne stocke plus de mines anti-personnel depuis 2001.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. Dans la caserne Hôpital du Nord de Bogota, le soldat de 2e classe VIRGILIO ATENSIO. Les mines anti-personnel artisanales sont posées par les guérillas, les paramilitaires ou les narcotrafiquants, qui en plus de leurs faire perdre une ou deux jambes les ont infectés. Ces mines sont constituées de grenailles, de ferrailles et de matières fécales pour entraîner des infections difficiles à soigner. L’armée colombienne n’achètent plus, n’utilisent plus, ne produit plus, ne stocke plus de mines anti-personnel depuis 2001.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. Dans la caserne Hôpital du Nord de Bogota, le soldat blessé GIMENEZ GUERRERO. Les mines anti-personnel artisanales sont posées par les guérillas, les paramilitaires ou les narcotrafiquants, qui en plus de leurs faire perdre une ou deux jambes les ont infectés. Ces mines sont constituées de grenailles, de ferrailles et de matières fécales pour entraîner des infections difficiles à soigner. L’armée colombienne n’achètent plus, n’utilisent plus, ne produit plus, ne stocke plus de mines anti-personnel depuis 2001.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. La violence et l’insécurité en Colombie. Défilé du 1er Mai (jour du travail) dans la 7e rue : le Parti Marxiste-Léniniste Maoïste passant devant la police anti-émeute : jeunes cadets de la police.
COLOMBIE, les caravanes touristiques
COLOMBIE – Août 2003. Depuis Janvier 2003, programme gouvernemental de protection des civils sur les routes touristiques (organisation de convois gardés par l’armée et la police de la route, surveillance par satellite). Centre National Administratif dans un des quartiers de Bogota (centre de contrôle des routes par satellite).
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. Dans les locaux de RADIO CARACOL. Chaque nuit de samedi à dimanche le programme “Las Voces del secuestro” (Les Voix des Prises d’Otages) permet aux amis et aux familles des otages retenus dans la jungle (ils sont entre 2500 et 3 000 en 2005) d’envoyer par les ondes sur tout le territoire colombien, des messages de soutien, afin d’éviter de déprimer ou de faire une tentative de suicide.
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COLOMBIE – Avril 2005. Dans la Sierra Nevada (Nord), région de Santa Marta, dans la vallée du Rio Piedras, lieu où sont installées des familles, recevant l’aide du Gouvernement, Ce programme national a pour but de protéger et subventionner des familles qui s’engagent à préserver les forêts en cultivant des cultures traditionnelles non-illicites, tel que le café, le cacao, bananes, les fleurs exotiques. Afin d’éradiquer les plantation illégales de coca (cocaïne) et de pavot (héroïne). MARIELA EPIEYU, 36 ans, paysanne, indienne, elle a 6 enfants.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. Programme du Gouvernement du Président Uribe, de démobilisations des guérilleros (FARC & ELN) et des paramilitaires (AUC). Une fois les armes déposées, les combattants clandestins sont déplacés vers les grandes villes. Ils vivent sous anonymat dans ces “hôtels” gérés par le Ministère de la défense, pour leurs permettent de suivre des études et refaire leurs vies. “EL G….” ex-combattant des, paramilitaires avec sa femme. Il a 24 ans.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. Dans la Sierra Nevada (Nord), région de Santa Marta, dans la vallée du Rio Piedras, lieu où sont installées des familles, recevant l’aide du Gouvernement, Ce programme national a pour but de protéger et subventionner des familles qui s’engagent à préserver les forêts en cultivant des cultures traditionnelles non-illicites, tel que le café, le cacao, bananes, les fleurs exotiques. Afin d’éradiquer les plantation illégales de coca (cocaïne) et de pavot (héroïne). Un jeune patrouilleur de la police anti-narcos : ALBERTO CORDERO, 22 ans.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. Otages retenus dans la jungle colombienne, dans des camps de barbelés. Ce sont des militaires de l’armée régulière colombienne, qui furent otages pendant plusieurs mois ou années, arrêtés et retenus par les FARC.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. Au centre de Bogota : le cimetière où finissent les victimes et les criminels : “LA VIE EST SACRÉE” est peint sur le frontispice.
COLOMBIE : le conflit armé colombien, son financement et ses victimes
COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. COLOMBIE – Avril 2005. Programme du Gouvernement du Président Uribe, de démobilisations des guérilleros (FARC & ELN) et des paramilitaires (AUC). Une fois les armes déposées, les combattants clandestins sont déplacés vers les grandes villes. Ils vivent sous anonymat dans ces “hôtels” gérés par le Ministère de la défense, pour leurs permettent de suivre des études et refaire leurs vies. Dans ce lieu : ancien guérilleros des FARC et leurs familles.