La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
A Uclès dans la région de Cuenca, des familles commencent leur deuil avec l’exhumation des 460 corps des républicains fusillés entre 1940 et 1943. Enterrés dans la fosse commune du cimetière du monastère sans identification.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
A Uclès dans la région de Cuenca, des familles commencent leur deuil avec l’exhumation des 460 corps des républicains fusillés entre 1940 et 1943. Enterrés dans la fosse commune du cimetière du monastère sans identification.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
A Uclès dans la région de Cuenca, des familles commencent leur deuil avec l’exhumation des 460 corps des républicains fusillés entre 1940 et 1943. Enterrés dans la fosse commune du cimetière du monastère sans identification.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
A Uclès dans la région de Cuenca,
Agustin Elvira Romero, 72 ans, pose devant la prison où son père a été fusillé quand il avait 6 ans. Il tient le document qui condamne son père Maximiliano Elvira Coso, 36 ans, à la peine capitale pour avoir été fidèle à la République.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
A Uclès dans la région de Cuenca, des familles commencent leur deuil avec l’exhumation des 460 corps des républicains fusillés entre 1940 et 1943. Enterrés dans la fosse commune du cimetière du monastère sans identification.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Depuis 1991, les derniers maquisards et guérilleros se réunissent chaque mois d’octobre près du monument aux morts installé sur une colline au-dessus du villa Santa Cruz de Moya.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Depuis 1991, les derniers maquisards et guérilleros se réunissent chaque mois d’octobre près du monument aux morts installé sur une colline au-dessus du villa Santa Cruz de Moya.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Depuis 1991, les derniers maquisards et guérilleros se réunissent chaque mois d’octobre près du monument aux morts installé sur une colline au-dessus du villa Santa Cruz de Moya.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Depuis 1991, les derniers maquisards et guérilleros se réunissent chaque mois d’octobre près du monument aux morts installé sur une colline au-dessus du villa Santa Cruz de Moya.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Depuis 1991, les derniers maquisards et guérilleros se réunissent chaque mois d’octobre près du monument aux morts installé sur une colline au-dessus du villa Santa Cruz de Moya.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Depuis 1991, les derniers maquisards et guérilleros se réunissent chaque mois d’octobre près du monument aux morts installé sur une colline au-dessus du villa Santa Cruz de Moya.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Depuis 1991, les derniers maquisards et guérilleros se réunissent chaque mois d’octobre près du monument aux morts installé sur une colline au-dessus du villa Santa Cruz de Moya.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Depuis 1991, les derniers maquisards et guérilleros se réunissent chaque mois d’octobre près du monument aux morts installé sur une colline au-dessus du villa Santa Cruz de Moya.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Monument érigé sous Franco en hommage à Onésimo Redondo le “Caudillo de Castilla”, jeune leader fasciste, tué sur le front en 1936 à Valladolid, cerro de San Cristobal.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Santiago, membre de la Phalange Espagnole, devant le monument érigé sous Franco en hommage à Onésimo Redondo le “Caudillo de Castilla”, jeune leader fasciste, tué sur le front en 1936 à Valladolid, cerro de San Cristobal.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Le 19 novembre 2005, pour les 30 ans de la mort de Franco, les phalangistes traditionalistes, fascistes, néo-nazis et franquistes fidèles à sa mémoire et à sa dictature, viennent assister à une messe en honneur du dictateur à El Escorial.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Novembre 2005, pour les 69 ans de la mort de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, les membres actuels de la Phalange montent jusque’à la basilique où sont enterrés Franco et José Antonio Primo de Rivera pour y déposer une couronne.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Novembre 2005, pour les 69 ans de la mort de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, les membres actuels de la Phalange montent jusque’à la basilique où sont enterrés Franco et José Antonio Primo de Rivera pour y déposer une couronne.
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Novembre 2005, des anciens membre du parti carliste à l’entrée de la Basilique du Valle de los Caidos, des Carlistes participent à la commémoration du franquisme.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Le 20 novembre 2005, pour les 69 ans de la mort de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, les membres actuels de la Phalange montent jusque’à la basilique où sont enterrés Franco et José Antonio Primo de Rivera pour y déposer une couronne.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Le 20 novembre 2005, pour les 69 ans de la mort de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, les membres actuels de la Phalange montent jusque’à la basilique où sont enterrés Franco et José Antonio Primo de Rivera pour y déposer une couronne.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Le 20 novembre 2005, pour les 69 ans de la mort de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, les membres actuels de la Phalange montent jusqu’à la basilique où sont enterrés Franco et José Antonio Primo de Rivera pour y déposer une couronne.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Le 20 novembre 2005, pour les 69 ans de la mort de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, les membres actuels de la Phalange montent jusqu’à la basilique où sont enterrés Franco et José Antonio Primo de Rivera pour y déposer une couronne.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Archives générales de la Guerre Civile Espagnole (archives du camp républicain et de la gauche), les 2790000 fiches établies par les anciens services de répression de la police de Franco: la Direction de la Sécurité.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Archives générales de la Guerre Civile Espagnole (archives du camp républicain et de la gauche), les 2790000 fiches établies par les anciens services de répression de la police de Franco: la Direction de la Sécurité.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
La tombe du colonel Moscardo dans les sous-sol de l’ Alcazar de Tolede. Mascardo est devenu un héros de la rébellion militaire en refusant de se rendre aux républicains dès le début du conflit.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
La tombe du colonel Moscardo dans les sous-sol de l’ Alcazar de Tolede. Mascardo est devenu un héros de la rébellion militaire en refusant de se rendre aux républicains dès le début du conflit.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Dans les champs près du village de Paracuellos, sept fosses communes ont été creusées où près de 8354 personnes ont été enterrées pendant l’été 1936, exécutées par les “Checas rouges“.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Ocana au Sud de Madrid, dans cette ville, la rue principale s’appelle toujours “l’avenue du Generalissime” (Franco).
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
A Madrid, rue San Bernardo, la rénovation de la facade de ce magasin, a permis de découvrir sous d’anciennes plaques de marbres décoratifs, un graffiti à la gloire de Franco, réalisé au pochoir, tel qu’on les faisait dans les années 40 et qui couvraient tous les murs d’Espagne.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
En 2002, l’exposition “Exilio“ au Palais de Cristal de Madrid a permis aux Madrilènes de découvrir avec stupéfaction, qu’une République Espagnole avait perduré en exil pendant 40 ans. De nombreuses personnes sortent de l’exposition en pleurant d’émotion.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
En 2002, l’exposition “Exilio“ au Palais de Cristal de Madrid a permis aux Madrilènes de découvrir avec stupéfaction, qu’une République Espagnole avait perduré en exil pendant 40 ans. Des madrilenes face aux uniformes de déportés espagnols aux camps de déportation nazi (d’Auschwitz-Birkenau).
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Le village de Belchite dans la région de l’Aragon est surnommé “village martyr de la croisade anti-rouge ». Reconstruit sous Franco par les prisonniers du 2e camp de travail du pays. Les vestiges de des anciens bâtiments sont encore présents et servent de décors à des films.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Le village de Belchite dans la région de l’Aragon est surnommé “village martyr de la croisade anti-rouge ». Carmelo, 60 ans a grandi et vécu, dans une des maisons de cette rue, il me raconte la vraie histoire, car aucun panneau n’explique ce lieu !
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
Le village de Belchite dans la région de l’Aragon est surnommé “village martyr de la croisade anti-rouge ». Reconstruit sous Franco par les prisonniers du 2e camp de travail du pays. Les vestiges de des anciens bâtiments sont encore présents et servent de décors à des films.
La mémoire de la Guerre Civile espagnole et de la dictature franquiste
A Uclès dans la région de Cuenca, des familles commencent leur deuil avec l’exhumation des 460 corps des républicains fusillés entre 1940 et 1943. Enterrés dans la fosse commune du cimetière du monastère sans identification.