Sur les routes de l’Andalousie
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La répétition du groupe de jeunes Flamenco Calle Nueva dans le bar de leur pena avec de gauche à droite: El Marquesito, Jesule De Utrera et Manolito De Angustias à Utrera en septembre 1996.
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Après le concert, dans l’auditorium du Château « Amanecer en el castillo », quelques artistes flamenco dont Paco Valdepenas et « El Cabrero », Fernanda De Utrera et le guitariste José Luis Postigo continuent à jouer et chanter tard dans la nuit, à Utrera en septembre 1988.
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Une petite fille habillée en « flamenca » pour la feria de Utrera à la Feria d’Utrera dans la région de Basse en Andalousie en septembre 1988.
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Le chanteur Paco Valdepenas finissant sa copla et sortant « por buleria » de la scène lors d’un concert dans l’auditorium du Château Amanecer en el castillo à Utrera en septembre 1988.
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Lors d’une novillada de la Feria d’Utrera, le jeune novillero Jesulin de Ubrique avant qu’il ne devienne le torero et un matador à succès dans les années 1990. Les gradins aux soleil sont vides lors de la forte chaleur de septembre 1988 à Utrera.
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Des musiciens, chanteurs et danseurs amateurs pendant la feria d’Utrera en septembre 1988.
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Les derniers chants gitans pour la fin de la feria à Utrera en septembre 1988.
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Portrait d’un homme au chapeau pendant la feria d’Utrera en septembre 1988.
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Le danseur de Flamenco El Marquesito pendant le spectacle « Utrera y su compas » au festival Flamenco d’artistes non-professionnels d’Utrera en juillet 1988.
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La danseuse de Flamenco Teresa Galvez pendant le spectacle « Utrera y su compas » au festival Flamenco d’artistes non-professionnels d’Utrera en juillet 1988.
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Le marché couvert d’Utrera sur la place devant le « Mercado Municipal » en juillet 1988.
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Une jeune femme regarde la télévision dans un bar du village de Carmona en Andalousie en avril 1988.
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En avril 1988, des familles passent devant l’église du village de Carmona. Dans cette région, l’installation des Gitans s’est faite dès le 15e siècle. Ce fut l’un des premiers lieux de sédentarisation des Gitans.
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A Utrera en avril 1988, Fernanda Nunez Pena chante une berceuse ou « nana » à la fenêtre de son patio. Tous les membres de la famille, savent quelques chants, dont ils sont les dépositaires, c’est leur héritage culturel, souvent bien plus important que les biens matériels.
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Diego Manuel Nunez Pena, jeune guitariste flamenco gitan, au dessus, le portrait d’une de son aïeules « La Serneta » grande chanteuse de flamenco du début du 20ème siècle.
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Des enfants jouent au foot sur une place du village de Lebrija en avril 1988.
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Sur la place du village d’Utrera, un dimanche soir, des hommes autour du kiosque à journaux en avril 1988.
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Dans un bar d’Utrera, un client se met à danser quelques pas de flamenco devant un ami qui chante une « buleria » en claquant des mains en avril 1988.
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Des bouteilles vides à côté d’un étui à guitare dans les coulisses du festival de flamenco de Lebrija en juillet 1987.
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Un homme à l’intérieur d’un bar où l’on vient écouter du flamenco en avril 1987. Utrera est au centre du « triangle d’or » du flamenco gitan entre Séville, Jerez et Cadiz.
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Fernanda De Utrera est, dans l’univers du Flamenco, considérée comme une diva. Elle et sa soeur Bernarda ont gardé les plus authentiques chants gitans. Elle pose devant un olivier solitaire typique de cette plaine de la basse Andalousie en avril 1988.
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Apres la corrida, le taureau est dépeceédans un abattoir en plein air concomitant à l’arène du village d’Utrera en Espagne. Cette pratique est totalement interdite aujourd’hui.
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Un vendeur de rue et ses clients à l’ombre d’un mur couvert d’affiches à Utrera en juillet 1988.
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Deux clients d’un bar en train de boire un verre à Utrera en Basse Andalousie en avril 1988.